Auszüge aus Luc Friedens Rede zur Lage des Nation
Luxemburger Wort 13. Mai 2025
Auszüge aus dem LW Ticker
Luxemburger Wort 13. Mai 2025
Auszüge aus dem LW Ticker
Die Minister Léon Gloden als auch Max Hahn beteuern, eine „Asylpolitik mit Herz und Verstand“ zu betreiben – und rechnen dabei mit ihrem Vorgänger ab.
La Question parlementaire de Joelle Welfring 1687
« Le programme gouvernemental 2023-2028 prévoit que les demandeur.e.s de
protection internationale (dpi) « seront répartis équitablement à travers le pays. Toutes
les communes devront participer et être solidaires en ce qui concerne l’effort de créer
des structures pour dpi ». Néanmoins, en réponse à la question parlementaire n°622,
il a été révélé que « le gouvernement ne prévoit à l’heure actuelle pas l’établissement
d’une telle clé de répartition obligatoire pour les communes. »
Dans ce contexte, je me permets de poser les questions suivantes :
1. Quelle sont les raisons pour lesquelles Monsieur le Ministre s’est décidé de ne plus poursuivre l’objectif d’une répartition équitable de structures pouvoir héberger des demandeur.e.s de protection internationale à travers le pays ?
2. Monsieur le Ministre peut-il fournir des données actuelles concernant le nombre de dpi, de demandeur.e.s de protection temporaire (dpt) ainsi que de bénéficiaires de protection internationale (bpi) hébergé.e.s dans les structures de l’Etat par commune ?
3. Combien de nouvelles structures ont été mises en place sous la législature actuelle ?
Il en ressort que 34 communes (sur 100) hébergent des réfugiés
« Le gouvernement continue à poursuivre l’objectif d’une répartition équitable des structures pour DPIà travers le pays. Le ministère de la Famille, des Solidarités, du Vivre ensemble et de l’Accueil (MFSVA) ainsi que l’Office nationale de l’accueil (ONA) sont en permanence à la recherche de terrains etbâtiments afin d’assurer la mission d’accueil de manière adéquate. Tel qu’indiqué dans la réponse àla question parlementaire n°622, les discussions avec les communes sont intensifiées afin de continuer à développer le réseau de structures d’accueil à travers le pays. En effet, les communes sont des partenaires essentiels dans ce cadre, non seulement en ce qui concerne la mise en place de nouvelles structures pour DPI, mais également en ce qui concerne l’intégration et le vivre-ensemble au sein de la commune. »
Conclusion :
Loin de l’obligation (devront) inscrite dans le programme gouvernemental
Le gouvernement prévoit dans son programme des cours de langue obligatoires pour les demandeurs de protection internationale.
La député Joelle Welfring a voulu en savoir davantage ,
1. Combien de cours ont déjà été mis en place depuis décembre 2023 pour répondre à l’objectif du gouvernement de proposer des cours de langues et de vivre ensemble à tous les dpi ?
2. L’approche de cours obligatoires vaut-elle également pour les demandeur.e.s de protection temporaire ?
3. Est-ce que des enseignant.e.s supplémentaires seront nécessaires afin de pouvoir proposer des cours à tous les dpi ? Dans l’affirmative, quels sont les besoins à cet égard, et comment le personnel enseignant supplémentaire sera-t-il recruté et formé ?
4. De manière générale, quels seront les moyens mis en œuvre pour répondre à l’objectif du gouvernement de proposer des cours de langues et de vivre ensemble à tou.te.s les dpi ?
5. Comment le gouvernement compte-t-il appliquer l’obligation précitée de suivre des cours ?
Une plateforme interministérielle a été créée sous l’égide du ministère de la Famille, des Solidarités, du Vivre ensemble et de l’Accueil (MFSVA), dans le but de favoriser davantage l’employabilité et l’intégration des demandeurs de protection internationale (DPI), des bénéficiaires de protection internationale (BPI) et des bénéficiaires de protection temporaire (BPT). Cette initiative interministérielle rassemble divers acteurs œuvrant dans ce domaine : l’Office national de l’accueil(ONA), l’Office national de l’inclusion sociale (ONIS), la Division « Vivre-ensemble » du MFVSA, l’Agence pour le Développement de l’Emploi (ADEM) du Ministère du Travail, la Direction Générale de l’Immigration du Ministère des Affaires intérieures (MAINT), ainsi que le Service de formation des adultes (SFA) et le Service de la formation professionnelle (SFP) du Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse (MENEJ).
L’objectif fondamental de ce groupe de travail est de définir ensemble un parcours d’insertion professionnelle commun qui vise à renforcer l’employabilité des individus concernés, à coordonner de manière efficace l’intervention des différents acteurs impliqués et à promouvoir l’intégration et le vivre-ensemble au sein de la société luxembourgeoise. Ainsi, le développement de l’offre de cours de langues et de vivre-ensemble, en sus de l’offre existante, fait partie des travaux de la plateforme interministérielle en question. Tandis que les travaux y relatifs se poursuivent, il est trop tôt de se prononcer sur les détails.
Der Innenminister verteidigt die Asylpolitik der Regierung und erklärt, wie er die Sicherheitsprobleme im Bahnhofsviertel in den Griff bekommen will.
Faisant volte-face par rapport à la coalition précédente, le gouvernement a déclaré qu’il étudiait l’avenir du programme accordant un permis de séjour pour un investissement de 500.000 euros.
Très critiqué ces derniers mois sur sa politique d’accueil des sans-abri et des réfugiés, le ministre de la Famille et des Solidarités répond et compte sur le soutien des communes pour atteindre ses objectifs.
Ce mercredi 19 juin 2024, le ministère de la Famille, des Solidarités, du Vivre ensemble et de l’Accueil a organisé la deuxième cérémonie de signature du « Gemengepakt » (pacte communal du vivre-ensemble interculturel) de l’année avec 5 communes, suivie de la remise officielle du « Guide du citoyen » à la commune de Colmar-Berg.