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José Rischard ist écrivain public in der Gemeinde Bartringen
RTL.lu: Serie : De Paul Prussen schafft bei der Asti
Sech aus Freed un der Saach fir aner Leit staark maachen, d’Integratioun an d’Gesellschaft ze fërderen a fräiwëlleg Zäit an Energie ze spenden.
Benevolat ass dat, wat de Paul Prussen dreift. De Pensionär schenkt anere Leit gäre seng Zäit. Hie schwätzt 5 Sproochen an notzt seng linguistesch Kenntnisser, fir do Hëllef ze bidden, wou se gebraucht gëtt. Zanter 3 Joer schafft hien als Fräiwëllege bei der Asti. D’Associatioun, déi d’Integratioun vun den Auslänner an déi interkulturell Beräicherung hei am Land fërdert.
Voici les 2 vidéos sur le thème « Les tiers-lieux au Luxembourg : faire ensemble pour mieux vivre ensemble ». Le but était de discuter de la nécessité d’enrichir la vie en communauté par le biais de ce qu’on appelle les « tiers-lieux ».
Notre avenir se base sur une responsabilité partagée, nous avons donc besoin de lieux inspirants pour envisager des solutions aux défis sociétaux qui se posent. Imaginez des citoyens en contact par des réseaux sociaux ‘live’ ! La force d’un tiers-lieu -aussi attrayant que possible – est de devenir l’âme visible, le phare de l’engagement durable au niveau local.
Le Centre for Ecological Learning Luxembourg et l’ASTI, avec la participation du CNE -Conseil National pour Étrangers- ont invité à ce forum virtuel
Le graal : un compte bancaire
De retour au Luxembourg, Fabienne Colling refuse donc de rester les bras croisés et veut coûte que coûte aider les réfugiés. Au Grand-Duché, l’aide aux réfugiés s’articule essentiellement autour de deux grandes thématiques : le logement et le travail. Elle choisit la seconde. « Je ne me voyais pas traiter de la question du logement, et puis je me suis rendu compte que rien n’était proposé en termes de micro-entrepreneuriat pour les personnes dans des situations vulnérables. J’ai donc eu un échange très fructueux avec la Chambre de commerce, qui a permis de faire naître le programme de formation pour les futurs entrepreneurs : Sleeves Up. » Grâce à l’appel mateneen (le plus grand appel initié par l’Œuvre nationale de secours Grande-Duchesse-Charlotte, qui a soutenu plus de 120 projets venant en aide aux réfugiés), Fabienne Colling fonde alors son ASBL, Touchpoints.
Lorsqu’un réfugié leur fait part de son projet, les collaborateurs de l’association, au nombre de quatre, procèdent en premier lieu à « une évaluation individuelle » : « Nous voulons comprendre dans quelle situation il se trouve. C’est très important pour nous de savoir quel impact la création d’entreprise peut avoir sur la situation familiale, financière, psychologique aussi. »
Obtenir un compte bancaire professionnel reste l’une des difficultés majeures rencontrée par les réfugiés, explique la fondatrice de Touchpoints, Fabienne Colling.
Les plus motivés peuvent ensuite suivre une formation d’une semaine qui leur présente les différentes étapes administratives auxquelles ils devront se soumettre. S’ensuivra l’élaboration d’un business plan (« simplifié et didactique »), et d’un accompagnement individuel d’une quarantaine d’heures étalées sur plusieurs mois.
Car le processus est long avant d’aboutir : environ un an et demi en moyenne. Et le parcours, parsemé d’obstacles. Si la fondatrice de Touchpoints constate une amélioration concernant l’octroi du permis de travail, l’ouverture d’un compte bancaire professionnel et l‘obtention d’un prêt restent des difficultés majeures pour les réfugiés. « Obtenir un prêt pour lancer son entreprise est difficile pour tout le monde, mais c’est impossible pour les réfugiés. Aucun réfugié n’obtient un prêt d’une banque traditionnelle au Luxembourg, sauf s’il réussit à avoir un investisseur possédant de l’immobilier par exemple. » Microlux est en effet la seule institution du pays à octroyer des microcrédits aux entrepreneurs qui n’ont pas accès au crédit bancaire traditionnel.
En outre, si le droit européen oblige les banques à fournir un compte bancaire à tous les résidents – « généralement c’est la Post qui s’en charge ici », rappelle Fabienne Colling –, rien ne les oblige par contre à permettre l’ouverture d’un deuxième compte. « Cela n’empêche pas d’ouvrir son entreprise, mais cela complique beaucoup les choses. Nous avons par exemple un bénéficiaire qui gagne 30 000 euros cash tous les mois avec son épicerie, mais qui ne possède pas de compte pour les déposer! C’est loin d’être anecdotique! »
En attendant que la situation évolue, l’ASBL et ses bénéficiaires doivent tenter de parer à cette problématique. « Rien n’oblige les banques à entrer en relation, mais nous essayons de discuter, de fournir des documents et de communiquer positivement. Nous informons aussi les réfugiés d’entrer très tôt en relation avec une autre banque que la Post pour qu’elle apprenne à les connaître. Lorsque le Luxembourg verrouille ses lois sur le blanchiment pour faire figure de bon élève, c’est à la base que ça se resserre et ce sont les petits qui trinquent, réfugiés ou étrangers. »
L’artisanat, secteur fermé
Entre le labyrinthe administratif et le manque de moyens financiers, nombreux sont ceux qui finissent par abandonner leur rêve. Parfois même, celui-ci s’avère quasiment inaccessible du seul fait qu’il relève de l’artisanat. Secteur très protégé au Luxembourg, l’artisanat demeure en effet difficile d’accès pour les réfugiés, même si Touchpoints peut se féliciter de quelques victoires, à l’instar de celle de Hassan Almamuri qui, après un long processus, est parvenu à ouvrir son salon de coiffure pour hommes, le Prince coiffure, à Bonnevoie.
« De plus en plus de personnes peuvent démarrer une activité dans l’artisanat, notamment dans la coiffure», se réjouit Fabienne Colling, qui explique : «C’est un secteur très fermé car il faut disposer d’une maîtrise reconnue et justifier d’une expérience. Mais les réfugiés qui ont dû quitter leur pays du jour au lendemain n’ont pas leurs diplômes avec eux ou pas de preuves formalisées comme ici. Les autorisations dépendent donc parfois de notre créativité et du bon-vouloir des administrations. »
La plupart des bénéficiaires de Touchpoints sont des hommes. « Il y a 30 % de femmes dans les formations, et 10 à 20 % d’entre elles créent une activité, souvent dans le secteur associatif, autour de l’interculturalité », indique la fondatrice. Une sous-représentation qui s’e xplique par la faible représentation des femmes parmi les réfugiés d’une part (les réfugiés sont majoritairement des hommes sur le territoire luxembourgeois), mais aussi sans doute parce qu’elles s’occupent de la vie familiale.
La majorité de ces potentiels créateurs d’entreprises (60%) ont entre 30 et 44 ans. Ils viennent pour la plupart du Proche et du Moyen-Orient: Syrie, Irak, Afghanistan, Iran… Plus occasionnellement d’Amérique latine ou de certains pays africains. « Ils ont généralement quitté une vie déjà bien construite dans leur pays d’origine. Et comme ils ne se retrouvent pas sur le marché du travail luxembourgeois, étaient déjà entrepreneurs ou jouissaient d’un statut social élevé dans le passé, ils préfèrent se tourner vers l’entrepreneuriat », explique Fabienne Colling. « Ici, ils se retrouvent au bas de l’échelle, sans réelles perspectives d‘évolution, sans réseau, sans les bonnes qualifications, sans les langues. Dans l’entrepreneuriat, ils ont l’impression d’être plus en contrôle et d’avoir plus de potentiel au niveau financier. »
Commerces, restauration, services à la personne tels que du jardinage ou du nettoyage : ils sont une soixantaine de réfugiés passés par Touchpoints à être actuellement à la tête d’une entreprise.
Le Centre for Ecological Learning Luxembourg et l’ASTI, avec la participation du CNE -Conseil National pour Étrangers invitent à un forum virtuel « Les tiers-lieux au Luxembourg : faire ensemble pour mieux vivre ensemble ». Le but est de discuter de la nécessité d’enrichir la vie en communauté par le biais de ce qu’on appelle les « tiers-lieux ».
L’avenir se base sur une responsabilité partagée, nous avons donc besoin de lieux inspirants pour envisager des solutions aux défis sociétaux qui se posent. Imaginez des citoyens en contact par des réseaux sociaux ‘live’ ! La force d’un tiers-lieu -aussi attrayant que possible – est de devenir l’âme visible, le phare de l’engagement durable au niveau local.
Trois rendez – vous:
Mardi, 23.02.21 | 12h15 en ligne : qu’est un tiers-lieu et en quoi c’est intéressant. Seront présentés des exemples en Europe et au Luxembourg, le tout suivi d’une séance de discussion avec le public pour réfléchir ensemble à la mise en place de tels lieux au grand-duché.
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Mercredi 24.02.21 14h30 | en ligne. Le tiers-lieu, un instrument pour responsabiliser et mobiliser les citoyens
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Jeudi 25.02.21 I 19.00 I en ligne . Comment mettre en place un tiers lieu avec mes voisins,
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Progresser malgré la pandémie? C’est possible avec les binômes web de l’ASTI!
Français, luxembourgeois, allemand, anglais… le menu est vaste. Encore faut-il des bénévoles, notamment pour le luxembourgeois.
L’aspect technique de la conversation domine. Claude demande d’ailleurs aux apprenants s’ils préfèrent être corrigés à la moindre erreur ou à la fin de l’échange. « Mais l’enrichissement mutuel est là, incontestablement. » Y compris d’un point de vue linguistique! « Je redécouvre ma propre langue maternelle , sourit Claude. La dernière fois, l’apprenante me demandait: pourquoi dit-on “drôle de situation” quand ce n’est pas drôle? Une autre fois, il s’agissait d’expliquer le fait d’être “à côté de la plaque”. J’ai dû faire des recherches, moi-même je ne connaissais pas les racines de cette expression! » Pas simple non plus d’expliquer derrière un ordinateur le fait de «marcher sur la tête»! Le courant finit toujours par passer…
Michele Fanelli, lui, est de l’autre côté du rideau : c’est un apprenant (et donc pas un «élève» donc, puisque ce ne sont pas des cours). Serveur dans un restaurant italien, il est arrivé au Luxembourg en octobre 2019, depuis le Portugal. Son parcours de vie est plein de voyages : « Je suis italien, j’ai travaillé tout un temps en Grèce, puis au Portugal. Ma femme est portugaise. Quand elle a proposé qu’on se rapproche de sa maman au Luxembourg, je me suis dis pourquoi pas, sans trop connaître le pays .» Au départ, Michele maîtrise les mots de français qui lui suffisent pour comprendre les clients. «B onjour, voulez-vous de l’eau? Et avec ça? , récite Michele. Mais c’est lassant de parler comme un robot. »
Avec sa mise au chômage technique, fermeture des restaurants oblige, Michele n’a pas perdu de temps pour meubler son CV. Il parle d’ailleurs déjà un français appréciable! « J’échange via Instagram avec le bénévole. La vidéo passe bien. Je crois qu’elle est avocate, du moins travaille-t-elle dans la justice. Nous parlons de nos repas, de nos pays, de l’Italie, du Luxembourg… Nous parlons de la différence entre les pays. » Il doit aussi affronter quelques situations cocasses avec la langue de Molière. « La chambre est une pièce, c’est ça? », sourit-il. Michele sent qu’il progresse, en même temps qu’il entrevoit un Luxembourg plus large. « Je parle en portugais à la maison avec ma femme, en italien au travail avec mon patron… c’est important de parler français pour moi. »
Les rencontres ouvrent parfois des horizons encore plus lointains. Marc Faber conclut avec cet échange incroyable. « Une demoiselle voulait apprendre l’anglais, je me suis porté bénévole pour les échanges. C’était lors du premier confinement. Je trouvais que la connexion passait mal. J’ai fini par demander d’où elle se connectait… le Brésil! C’est un papy brésilien du quartier de l’ASTI qui avait vu la pub chez nous et qui s’était dit ” tiens, je vais en parler à ma petite-fille, si elle veut progresser en anglais ” . Petite fille géolocalisée au Brésil, donc! » Ou comment faire de l’international en partant du local.
• L’ASTI compose les binômes en évaluant le niveau des apprenants et des bénévoles (qui peuvent «enseigner» dans une langue qu’ils maîtrisent parfaitement, même si ce n’est pas leur langue maternelle), ainsi que les disponibilités horaires des bénévoles.
• L’ASTI peut se réserver le droit d’un refus, si l’association sent que l’apprenant n’a pas la base nécessaire pour échanger un minimum (équivalente au niveau A1). « Ces cas sont rares : deux refus pour le moment », précise Marc Faber.
• Une autonomie s’installe rapidement : l’ASTI amorce la pompe, mais c’est au binôme de faire vivre l’expérience en se mettant d’accord sur un rythme (une à deux fois par semaine, pour généralement 45 min) et un engagement fiable. Les échanges se font par rendez-vous en visioconférence, peu importe le logiciel de prédilection.
• Il n’y a pas de condition de résidence dans le pays. Les frontaliers peuvent par exemple devenir apprenants ou bénévoles.
• Le dispositif est totalement gratuit. L’ASTI agit comme un «laboratoire d’idées pour promouvoir une société plus solidaire et ouverte». La connaissance des langues est un moyen d’y parvenir, un lien concret.
• L’ASTI recherche particulièrement des bénévoles qui parlent le luxembourgeois. C’est la première langue demandée, en quasi-égalité avec le français, mais les bénévoles en français sont plus nombreux.
• Il est possible d’apprendre l’allemand et l’anglais aussi.
L’ASTI, comme chacun dans son travail, a découvert tout le potentiel du distanciel avec la crise. « En l’état des choses, le problème du virus ne va pas se résoudre demain : nous devons persévérer dans le virtuel, puisque la demande est là. » L’ASTI espère rétablir des tables rondes (un bénévole pour cinq apprenants ou plus) après la crise et, surtout, la promotion des cafés des langues. « Là, l’objectif de convivialité et de lien social devient aussi important que la langue ellemême» , précise Marc Faber. Mais clairement, la formule «binôme virtuel» devrait perdurer, puisqu’elle offre un complément efficace aux autres dispositifs et qu’elle s’inscrit dans une démarche sociale d’attention aux autres, comme nous l’avons vu.
Covid macht der Vereinigung Oppent Haus, die Flüchtlingen eine Bleibe vermittelt, zu schaffen
Bei Marianne Donven stapeln sich die Unterlagen. „In drei Ordnern habe ich bestimmt fast 300 Personen, die sich über ein schönes Zuhause freuen würden“, sagt sie. „Auch wenn nicht mehr alle Fälle aktuell sind, es bleiben immer noch sehr viele.“
Diana Hoffmann, Luxemburger Wort 20 Januar 2021
L’ASTI et le CEFIS
engagent pour les besoins de l’accompagnement des communes
deux conseiller(s)/ère(s) à l’intégration
en CDI – 40h/semaine
carrière CCT SAS – BAC + 3
à partir du 1er mars 2021 ou à convenir
En savoir davantage ici
Le groupe apporte des aliments de base aux foyers en difficulté. Il ne donne jamais d’argent et n’en accepte pas non plus.
En temps de crise, les fins de mois sont particulièrement difficiles à boucler pour certaines familles. C’est là que le groupe intervient.
Solidarité sans borne
Huit mois plus tard, le groupe Facebook est toujours actif. Après une accalmie estivale intervenue à la levée du confinement, les demandes d’aide sont reparties à la hausse ces dernières semaines, avant les fêtes de fin d’année. «Elles ont augmenté à nouveau suite à l’introduction du confinement partiel, mais leur ampleur n’est pas comparable à celle du printemps , indique Fabio Neves. Je pense qu’entre-temps tout le monde, État et associations y compris, a eu le temps de mieux se préparer aux conséquences d’un nouveau confinement.» La mise en place du chômage partiel a permis de mettre les salariés à l’abri, mais des salaires resteraient toujours impayés.
L’entraide entre les membres du groupe n’a jamais faibli. «Les gens nous signalent les besoins ou les publient directement dans le groupe. Les membres sont très réactifs. En moins de deux heures, nous avons meublé le logement de la mère de famille qui dormait au sol , se souvient Fabio Neves. Elle a eu une machine à laver, un micro-onde… tout!» La solidarité n’a pas de limites et pas de frontières. «Les personnes que nous avons aidées ces derniers mois aident à leur tour d’autres travailleurs en difficulté», se réjouit l’entrepreneur eschois. Les appels à l’aide émanent de travailleurs pauvres du Grand-Duché mais aussi des régions frontalières. «C’est du cinquante-cinquante. Ils travaillent au Luxembourg, mais doivent se loger à l’étranger parce que se loger y est plus facile. Ceux qui restent au Luxembourg vivent avec le minimum. Un mois de salaire en retard les plonge dans l’endettement et les ennuis», explique-t-il.
Le groupe fait de l’aide d’urgence uniquement. Pas question de récolter des fonds ou de plonger les personnes en détresse dans une forme d’assistanat et de les habituer à tout recevoir. «Nous avons aidé certaines familles jusqu’à trois ou quatre fois, après nous les avons encouragées à trouver des solutions ou du travail par elles-mêmes, précise le fondateur d’Un monde meilleur – Luxembourg. Nous les avons également dirigées vers des associations. Nous sommes là pour intervenir tout de suite, pas pour gérer des dossiers. Nous ne sommes pas des assistants sociaux.» Si au début de la pandémie, Un monde meilleur – Luxembourg ne faisait pas de distinction entre les familles à aider, actuellement, son fondateur avoue cibler davantage les bénéficiaires de ses actions.
Sombres perspectives
La gestion de la page Facebook, la distribution d’aide ou encore la collecte prennent énormément de temps aux membres les plus actifs. «Chaque demande d’aide nous prend deux heures en ligne minimum, plus deux heures pour le ramassage des produits et aliments demandés, plus la livraison. Au mois de mars, rien que l’organisation me prenait huit heures par jour. Actuellement, nous sommes à une demande par jour. Pendant l’été, on était retombé à une demande par semaine» , indique Fabio Neves, qui redoute que les appels à la solidarité des membres de son groupe n’augmentent en flèche à la rentrée de janvier. L’entrepreneur entrevoit des faillites, des défauts de paiement et des vagues de licenciements. Une perspective tout sauf joyeuse pour ce début d’année.
Toutes les informations pour soutenir cette initiative figurent dans le groupe Facebook d’Un monde meilleur – Luxembourg. «Nous y indiquons ce dont nous avons besoin pour les familles et comment nous procédons. Nous récupérons les dons auprès des collaborateurs du groupe ou au restaurant O Emigrante, rue Victor-Hugo à Eschsur-Alzette, qui a été transformé en centre de récolte. À partir de là, nous organisons les distributions et les livraisons au domicile des personnes. Nous pouvons également aller récupérer les dons chez les donateurs. Je lance alors un appel sur le réseau social pour trouver quelqu’un qui peut aller récupérer les dons et les ramener à Esch-sur-Alzette» , précise l’entrepreneur, qui peut également compter sur l’association Stroossen Engelen.