Eine Unterkunft muss schließen, rund 40 Asylberechtigte verlieren damit ihren Wohnort – selbst die Sozialämter können nichts für sie tun. Warum das der Fall ist.
Nach der Schließung des Centre d‘accueil d‘Eich könnten rund 40 Menschen auf der Straße landen, wenn sich das Nationale Aufnahmeamt nicht um eine Umsiedlung bemüht.
Interview de Sergio Ferreira (ASTI) dans le Quotidien du 23 septembre 2024
L’ASTI a rappelé, la semaine dernière, certaines dispositions en matière d’obligation scolaire qui ne sont pas toujours respectées. N’avez-vous pas le sentiment de devoir inlassablement vous répéter?
Communiqué de l’ASTI 18 septembre 2024
Le scandale Caritas, le pouvoir exécutif et la société civile.
Le détournement de fonds au détriment d’un des acteurs majeurs de l’action sociale au Luxembourg constitue sans doute le délit financier le plus grave jamais perpétré au Luxembourg à l’encontre d’une entité locale. Il mérite toute notre attention.
oder wie man eine unbequeme zivilgesellschaftliche Organisation entkernt und abwickelt
Nach dem Motto „Never waste a good crisis“ ist Premierminister Luc Frieden in der Caritas-Affaire auf volles Risiko gegangen. Gelingt ihm der zweite Hold Up auf die Caritas innerhalb von zwei Monaten, kann er die luxemburgische Zivilgesellschaft für Jahre hinaus politisch einschüchtern und verhindern, dass der Skandal sich auf den Finanzplatz ausweitet.
invitation table ronde 24 septembre 2024 Lundi 23 septembre 2024 à 19.00h Chambre des Salariés 2-4 rue Pierre Hentges, L-1726 Luxembourg Organisée par la Plateforme Immigration et Intégration Luxembourg
avec le soutien de
l’Œuvre nationale de secours Grande-Duchesse Charlotte
In Deutschland wird erregt über eine generelle Zurückweisung von Asylsuchenden diskutiert. Auch in anderen Staaten Europas findet man diesen Gedanken attraktiv. Doch wer legale Fluchtwege verhindert, überlässt nicht nur Schutzbedürftige ihrem Schicksal, sondern macht sich erpressbar und stärkt die Macht krimineller Banden und Regimes.
Les réfugiés sont de bons boucs émissaires pour tout et n’importe quoi, surtout ceux qui sont un peu plus exotiques. On les rend responsables de la pénurie de logements, de la montée du chômage, de l’inflation, de la hausse de la criminalité, de l’insalubrité de certains lieux. On oublie simplement qu’il y a toujours eu des réfugiés et que ces personnes dont on ne veut pas font les travaux que les autres ne veulent pas faire.»
Dans notre Interview du lundi de cette semaine, l’Ombudsman, Claudia Monti, a utilisé des mots très clairs. Des mots qui
résonnent et qui laissent songeur. En y regardant de plus près, ce constat est juste. La question posée à l’avocate de formation était en lien avec un manque de volonté grandissant de la part d’administrations et de communes d’accueillir des demandeurs d’asile.
En effet, la réticence reste de mise, en dépit des importants efforts fournis. L’augmentation de la capacité des foyers de 250 %, soit 5 500 lits, entre 2014 et fin 2023 n’a pas suffi à éviter une saturation. L’afflux renforcé de réfugiés à lui tout seul n’est pas suffisant pour expliquer ce manque de capacités.
Au Luxembourg, certains milieux, politiques également, traitent effectivement les réfugiés en «bons boucs émissaires». Il suffit de penser à l’ADR. Certains élus du CSV ne sont pas en reste. L’immigration «illégale, massive et incontrôlée» est considérée comme la principale source des maux listés par Claudia Monti. Malheureusement, ces propos populistes et simplistes, voire racistes, sont partagés par un nombre grandissant de citoyens, alors que, dans les faits, la situation
est à relativiser.
Le Vieux Continent est-il vraiment envahi par les migrants? La réponse est non.
L’UE accueillait, fin 2021, moins de 10 % de l’ensemble des réfugiés dans le monde. Les personnes cherchant à trouver refuge représentaient alors 1,5 % de la population totale de l’UE. La majorité des réfugiés d’Afrique et d’Asie ne viennent d’ailleurs pas en Europe, mais s’installent plutôt dans les pays voisins.
Il est dès lors plus approprié de faire la part des choses, y compris en assurant un traitement digne aux réfugiés qui peuvent espérer rester en Europe et à ceux qui ne pourront pas bénéficier d’un droit de séjour