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Plan pauvreté, avec ou sans objectif chiffré ?

 

© photo : Ville d’Esch/Emile Hengen

Cela ne devrait plus tarder. Le plan d’action nationale de lutte contre la pauvreté devrait enfin être dévoilé dans les tous prochains mois, possiblement d’ici la fin de l’année. Si certaines mesures de lutte contre la pauvreté, telles que l’exonération fiscale du salaire social minimum et l’augmentation de la prime énergie pour les ménages les plus défavorisés, ont déjà été mises en œuvre par l’actuel gouvernement, ce plan se fait attendre depuis son annonce dans l’accord de coalition 2023-2028.

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Formation et emploi des réfugiés à la Chambre

Question élargie n° 50 de Mme Corinne Cahen au sujet de la formation et emploi des réfugiés au Luxembourg

séance du 15 octobre 2025 :https://www.chd.lu/fr/seance/3034

Mischo zeigt sich offen für Sanktionen gegen Geflüchtete

wort online : https://www.wort.lu/politik/mischo-zeigt-sich-offen-fuer-sanktionen-gegen-gefluechtete/97689865.html?utm_source=wort&utm_medium=newsletter&utm_content=top_teasers_no_bg&utm_term=1-0&utm_campaign=evening_edition_daily

 

33% des réfugiés seulement ont un travail

Voici la traduction en français de la synthèse de l’article du Luxemburger Wort du 10 octobre 2025 : Warum nur 33 Prozent der Asylberechtigten arbeiten, Florian Javel


Sujet : L’accès des réfugiés au marché du travail au Luxembourg

Idée principale :

Les demandeurs d’asile et réfugiés rencontrent de nombreux obstacles bureaucratiques et pratiques pour accéder à l’emploi au Luxembourg. Les associations d’aide dénoncent une politique qui, volontairement ou non, freine leur intégration.


1. Projets d’aide à l’insertion professionnelle

  • Projets :

    • APES (Accompagnement personnalisé pour l’emploi dans les structures d’accueil) : aide aux réfugiés reconnus (BPI).

    • ReStart! : soutien aux demandeurs d’asile (DPI) dans la recherche d’emploi.

  • Organisation porteuse : Coopération Nord-Sud, dirigée par Elisabetta Lano et Simona Palladino.

  • Constat : Beaucoup de réfugiés acceptent n’importe quel travail, mais la reconnaissance de leurs diplômes (ex. médecins syriens) est quasi impossible.


2. Obstacles administratifs : l’« Autorisation d’occupation temporaire » (AOT)

  • Les demandeurs d’asile doivent attendre six mois avant de pouvoir chercher un emploi (la réduction à quatre mois promise par le gouvernement n’est pas encore en vigueur).

  • Après ce délai, ils doivent obtenir une AOT :

    • Valable pour un seul emploi et un seul employeur, pour six mois renouvelables.

    • Procédure lourde et complexe, qui décourage souvent les employeurs.

    • Délais d’attente très longs (parfois plusieurs mois).

  • Conséquence : certains employeurs retirent leurs offres.

  • Le gouvernement affirme vouloir simplifier la procédure.


3. Emploi des réfugiés reconnus (BPI)

  • Taux d’emploi :

    • 2023 : 32,3 %

    • 2025 : 33,6 % (1.700 sur 5.000 BPI âgés de 15 à 64 ans ont un emploi).

  • Manque de données fiables : les ministères ne disposent pas de statistiques précises.

  • Le Conseil luxembourgeois pour les réfugiés (LFR) réclame une politique d’intégration plus ambitieuse et fondée sur des chiffres concrets.

  • Comparaison : en Allemagne, environ 70 % des Syriens arrivés après 2015 ont trouvé un emploi.


4. Problèmes de langue et de formation

  • L’ADEM exige un niveau élevé de français, ce qui exclut beaucoup de réfugiés.

  • Sans emploi, ils ne peuvent pas pratiquer la langue, et les cours de l’INL sont souvent complets.

  • Les réfugiés tombent dans un cercle vicieux :

    • Pas de travail → pas de pratique linguistique → pas d’emploi.

  • Les stages sont rares et souvent non rémunérés, avec de fortes restrictions légales.

  • La formation professionnelle (ex. DAP) n’est accessible qu’après 12 mois de cotisations sociales — un critère que peu remplissent.

  • Les offres de formation privées sont très limitées.


5. Conclusion

  • L’accès au marché du travail des réfugiés au Luxembourg est fortement restreint.

  • Principaux obstacles :

    • lourdeurs administratives (AOT, non-reconnaissance des diplômes),

    • barrière linguistique,

    • manque de formations et de statistiques fiables.

  • Les associations estiment que l’État cherche à limiter les incitations à la migration.

  • Conséquence : les réfugiés restent dépendants et sans réelle perspective d’intégration durable.


Souhaitez-vous que je fasse une version encore plus courte (par exemple, 5 à 6 phrases pour un résumé de type presse) ?

Conditions de vie critiques dans les structures de l’ONA :

Résumé et traduction de l'article du Luxemburger Wort du 30.9.2025 : "Schimmel, Dreck, Enge- das Leben in ONA Unterkünften"

Des vidéos fuitées révèlent un manque d’hygiène, de ventilation et de respect de la vie privée.

Des vidéos et photos récentes, transmises anonymement à la presse, montrent des conditions de vie inacceptables dans plusieurs centres d’accueil pour réfugiés gérés par l’Office national de l’accueil (ONA) au Luxembourg. Ces documents révèlent notamment la présence de moisissures, la surchauffe des dortoirs, le manque d’intimité et l’absence de fenêtres ou de ventilation adéquate dans certains bâtiments.

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Protection de la sphère privée ou non transparence voulue

Traduction du résumé de l’article du Luxemburger Wort « Schutz der Privatsphäre oder gezielte Intransparenz? »

du Luxemburger Wort du 26 septembre 2025

Les structures d’hébergement de l’Office national de l’accueil (ONA) au Luxembourg font l’objet de critiques croissantes en raison de leur manque de transparence. Des réfugiés, comme Amanuel (pseudonyme), un Érythréen, dénoncent une surcharge des centres, un manque d’intimité et des conditions d’hygiène déplorables. Beaucoup de résidents ont peur de parler de leur situation ou d’apporter des preuves, par crainte de sanctions.

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Packe mir dat?

Virun 10 Joer sot déi deemoleg Bundeskanzlerin Angela Merkel den historesche Saz « Wir schaffen das! ». Wéi hu mir zu Lëtzebuerg dës Zäit genotzt, fir Flüchtlinge ze integréieren? Dat sech freet d’Laura Zucoli, Biergerrechtlerin, an hirem Fräie Mikro.

25.9.2025

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Emploi des Ukrainiens

Question parlementaire 2739 emploi des  dpt


Combien de bénéficiaires de protection temporaire ukrainiens sont actuellement enregistrés au Luxembourg ?

Selon les données actuelles, un total de 3 671 personnes bénéficient d’une protection temporaire, dont 3 543 de nationalité ukrainienne et 128 d’une autre nationalité. Les 128 personnes non ukrainiennes sont des personnes qui résidaient en Ukraine avant la guerre.

Combien de bénéficiaires de protection temporaire ukrainiens exercent une activité professionnelle et dans quels secteurs sont-ils particulièrement actifs ?

Au 31 juillet 2025, 901 bénéficiaires de protection temporaire ukrainiens étaient professionnellement actifs, dont 19 en tant qu’indépendants. Parmi les personnes âgées de 15 à 64 ans (892 personnes), cela correspond à un taux d’emploi de 31,4 %.

L’activité principale des salariés (882 personnes) se concentre dans les secteurs “I HÉBERGEMENT ET RESTAURATION” (27 %) et “Q SANTÉ HUMAINE ET ACTION SOCIALE” (15 %).

ONA-Strukture fir Asyldemandeuren: Wou si se drun?

100,7  Anna Angel 18 September 2025

en bas traduction  par ChatGPT

De Familljen- an Accueilsminister Max Hahn wollt mam Pilgerstaf duerch d’Land zéien, fir Strukturen ze fannen, fir Demandeurs de protection internationale. Dat sot den DP-Minister am Januar op enger Pressekonferenz. Néng Méint dono kann ee sech froen: Wou bleiwen déi Strukturen?

Et ass den aktuellen Zuelen no nach ëmmer sou, datt ongeféier zwee Drëttel vun de Gemenge keng Struktur hunn. Déi Zuele krut de Radio 100,7 vum ONA, dem Office National de l’accueil. Déi Verwaltung, déi responsabel ass fir d’Gerance vun de Strukture fir Refugiéen, also Mënschen deenen hir Demande fir Schutz zu Lëtzebuerg nach amgaangen ass.Am Ganze ginn et queesch uechter d’Land bal 8.300 sougenannten ONA-Better, also Plaze fir Refugiéen. Spëtzereider ass do d’Stad Lëtzebuerg, déi méi wéi een Drëttel vun de Plaze stellt.

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Les réfugiés prennent la parole

La pénurie du logement au Luxembourg est endémique. En soufrent toutes les classes et catégories sociales.
Le Grand Duché ne connait que 2% de logements sociaux .
Les populations à faible revenu se sentent à l’abandon.
Les demandeurs de protection internationale sont logés dans des conditions souvent précaires. Une fois obtenu le statut, ils doivent quitter les structures d’hébergement du gouvernement et trouver un logement sur le marché libre. S’ils bénéficient du Revenu minimum (REVIS) qui tourne autour de 2 000 euros selon la composition du ménage ne permet guère de payer un loyer pour un logement décent.
Malgré les priorités annoncées par les gouvernements successifs, l’offre de logements abordables n’augmente que peu.

Plus d’un e centaine de réfugiés viennent de lancer un cri de secours par une conférence de presse largement relayée par les médias (3 quotidiens, 1 hebdomadaire, 3 radios et la télé.

Luxembourg Times

Woxx

Luxemburger Wort 

Le Quotidien