RYSE et les jeunes réfugiés
Soutient l’intégration des jeunes adultes réfugiés (âgés de 18 à 35 ans) : aperçu du travail de RYSE
Soutient l’intégration des jeunes adultes réfugiés (âgés de 18 à 35 ans) : aperçu du travail de RYSE
Le projet APES Accompagnement Personnalisé pour l’Emploi dans les Structures d’accueil de l’association Coopération Nord – Sud court jusqu’à la fin 2025 . Un nouveau projet REST ART prendra le relais
Un programme allant de 2024 à 2027
La présentation faite à Bissen
Le Collectif Réfugiés a élaboré des propositions pour améliorer l’employabilité des réfugiés
Un programme pour l’accès des demandeurs et bénéficiaires de protection en Allemagne
Voici une description de Jobturbo
et l évaluation de JOBturbo faite par l’université de Stanfort et l’ETH de Zurich
Luxemburger Wort 21.Oktober 2025 Florian Javel
Obwohl Petingen die fünftgrößte Gemeinde im Land ist, verfügt sie über keine feste Aufnahmestruktur für Geflüchtete. Ein „schlechtes Gewissen“ hat der Bürgermeister trotzdem nicht.
https://www.wort.lu/politik/herr-halsdorf-warum-bauen-sie-in-petingen-keine-fluechtlingsunterkunft/98647479.html?utm_source=wort&utm_medium=newsletter&utm_content=top_teasers_no_bg&utm_term=1-0&utm_campaign=morning_edition_daily
© photo : Ville d’Esch/Emile Hengen
Cela ne devrait plus tarder. Le plan d’action nationale de lutte contre la pauvreté devrait enfin être dévoilé dans les tous prochains mois, possiblement d’ici la fin de l’année. Si certaines mesures de lutte contre la pauvreté, telles que l’exonération fiscale du salaire social minimum et l’augmentation de la prime énergie pour les ménages les plus défavorisés, ont déjà été mises en œuvre par l’actuel gouvernement, ce plan se fait attendre depuis son annonce dans l’accord de coalition 2023-2028.
séance du 15 octobre 2025 :https://www.chd.lu/fr/seance/3034
Mischo zeigt sich offen für Sanktionen gegen Geflüchtete
wort online : https://www.wort.lu/politik/mischo-zeigt-sich-offen-fuer-sanktionen-gegen-gefluechtete/97689865.html?utm_source=wort&utm_medium=newsletter&utm_content=top_teasers_no_bg&utm_term=1-0&utm_campaign=evening_edition_daily
Voici la traduction en français de la synthèse de l’article du Luxemburger Wort du 10 octobre 2025 : Warum nur 33 Prozent der Asylberechtigten arbeiten, Florian Javel
Idée principale :
Les demandeurs d’asile et réfugiés rencontrent de nombreux obstacles bureaucratiques et pratiques pour accéder à l’emploi au Luxembourg. Les associations d’aide dénoncent une politique qui, volontairement ou non, freine leur intégration.
Projets :
APES (Accompagnement personnalisé pour l’emploi dans les structures d’accueil) : aide aux réfugiés reconnus (BPI).
ReStart! : soutien aux demandeurs d’asile (DPI) dans la recherche d’emploi.
Organisation porteuse : Coopération Nord-Sud, dirigée par Elisabetta Lano et Simona Palladino.
Constat : Beaucoup de réfugiés acceptent n’importe quel travail, mais la reconnaissance de leurs diplômes (ex. médecins syriens) est quasi impossible.
Les demandeurs d’asile doivent attendre six mois avant de pouvoir chercher un emploi (la réduction à quatre mois promise par le gouvernement n’est pas encore en vigueur).
Après ce délai, ils doivent obtenir une AOT :
Valable pour un seul emploi et un seul employeur, pour six mois renouvelables.
Procédure lourde et complexe, qui décourage souvent les employeurs.
Délais d’attente très longs (parfois plusieurs mois).
Conséquence : certains employeurs retirent leurs offres.
Le gouvernement affirme vouloir simplifier la procédure.
Taux d’emploi :
2023 : 32,3 %
2025 : 33,6 % (1.700 sur 5.000 BPI âgés de 15 à 64 ans ont un emploi).
Manque de données fiables : les ministères ne disposent pas de statistiques précises.
Le Conseil luxembourgeois pour les réfugiés (LFR) réclame une politique d’intégration plus ambitieuse et fondée sur des chiffres concrets.
Comparaison : en Allemagne, environ 70 % des Syriens arrivés après 2015 ont trouvé un emploi.
L’ADEM exige un niveau élevé de français, ce qui exclut beaucoup de réfugiés.
Sans emploi, ils ne peuvent pas pratiquer la langue, et les cours de l’INL sont souvent complets.
Les réfugiés tombent dans un cercle vicieux :
Pas de travail → pas de pratique linguistique → pas d’emploi.
Les stages sont rares et souvent non rémunérés, avec de fortes restrictions légales.
La formation professionnelle (ex. DAP) n’est accessible qu’après 12 mois de cotisations sociales — un critère que peu remplissent.
Les offres de formation privées sont très limitées.
L’accès au marché du travail des réfugiés au Luxembourg est fortement restreint.
Principaux obstacles :
lourdeurs administratives (AOT, non-reconnaissance des diplômes),
barrière linguistique,
manque de formations et de statistiques fiables.
Les associations estiment que l’État cherche à limiter les incitations à la migration.
Conséquence : les réfugiés restent dépendants et sans réelle perspective d’intégration durable.
Souhaitez-vous que je fasse une version encore plus courte (par exemple, 5 à 6 phrases pour un résumé de type presse) ?
Résumé et traduction de l'article du Luxemburger Wort du 30.9.2025 : "Schimmel, Dreck, Enge- das Leben in ONA Unterkünften"
Des vidéos fuitées révèlent un manque d’hygiène, de ventilation et de respect de la vie privée.
Des vidéos et photos récentes, transmises anonymement à la presse, montrent des conditions de vie inacceptables dans plusieurs centres d’accueil pour réfugiés gérés par l’Office national de l’accueil (ONA) au Luxembourg. Ces documents révèlent notamment la présence de moisissures, la surchauffe des dortoirs, le manque d’intimité et l’absence de fenêtres ou de ventilation adéquate dans certains bâtiments.