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20 juin: Journée mondiale des réfugiés

Im Integrationsbereich herrscht Nachholbedarf

Wort online 20. Juni 2022

Lëtzebuerger Flüchtlingsrot fuerdert besser Integratioun

RTL radio 20.Juni 2022

Die Menschen wollen leben“

LUXEMBURG Flüchtlingsrat stellt vier Faktoren für eine gelungene Integration vor

tageblatt 21. Juni. 2022

Un effort pour tous les réfugiés

Le Quotidien 21. juin 2022

Integrieren statt ignorieren

Luxemburger Wort 21. Juni 2022

Des livres pour les jeunes Ukrainiens

  • Plus d’une centaine de livres ont été remis à la bibliothèque créée pour les réfugiés ukrainiens au Rollingergrund.

RUHelp – Russians against the war, ASBL luxembourgeoise qui aide les personnes touchées par la guerre en Ukraine, a fourni des livres et jeux de société à une bibliothèque créée pour les réfugiés ukrainiens dans des locaux mis à la disposition par la Ville de Luxembourg au Rollingergrund. Avec le soutien du ministère de la Culture, la bibliothèque, qui représente un lieu d’accueil et d’accès à la culture pour les réfugiés ukrainiens, a été officiellement inauguré le 15 juin. Avec le soutien d’Olga Alexandrova, l’une des 100 écrivains ukrainiens les plus vendues, également réfugiée de la guerre au Luxembourg, des livres en ukrainien ont été commandés à la Fondation «Library Krajina» basée à Kiev, dont 384 sont des livres pour enfants, 378 livres du programme scolaire et 183 classiques de la littérature mondiale. Les livres, d’une valeur totale de près de 5 000 euros, ainsi que 32 jeux de société d’une valeur de 940 euros, ont été achetés grâce aux recettes du concert caritatif d’Alena Beava et Vadym Kholodenko, organisé par RUHelp le 29 avril dernier.

À la mi-avril, le ministre des Affaires étrangères, de l’Immigration et de l’Asile, Jean Asselborn, faisait état d’environ 3 000 réfugiés ukrainiens, dont 1 000 enfants en âge d’être scolarisés, présents sur le territoire luxembourgeois, qui ont fui leur pays depuis l’offensive russe en Ukraine. L’Organisation internationale pour les migrations indique que les personnes réfugiées ont généralement plus de risques de souffrir de dépression, d’anxiété et de trouble de stress post-traumatique. L’association luxembourgeoise RUHelp – Russians against the war a décidé de soutenir une bibliothèque pour les réfugiés ukrainiens, en mettant la priorité aux enfants, afin de leur offrir un lieu d’évasion et de réconfort. L’association précisait par voie de communiqué que «RUHelp – Russians against the war rassemble des personnes qui s’opposent fermement à la terrible guerre déclenchée par le régime du président russe et sont prêtes à faire ce qui est en leur pouvoir pour l’arrêter et soutenir les personnes touchées par celle-ci. Nos membres estiment qu’il est primordial d’assurer un lien avec la culture aux personnes qui fuient l’invasion russe, et plus spécifiquement les enfants. La bibliothèque offre un accueil chaleureux, un endroit sûr, où les livres ont pour rôle d’offrir un moment d’évasion et de répit au milieu des épreuves».

LUkraine fuerdert besser Koordinatioun tëscht de Ministèren

Den Accueil zu Lëtzebuerg vun den ukrainesche Refugiée wier no dräi Méint Krich ewell besser rodéiert, mee et géif nach ëmmer un Zesummenaarbecht a Koordinatioun tëschent dem Familljen- an dem Ausseministère feelen, sou d’Associatioun LUkraine.

Vesna Andonovic / cz

Nicolas Zharov riets LUKRAINE
Den Nicolas Zharov (riets) (Foto: ukrainians.lu/)

Dofir fuerdert d’Associatioun LUkraine en Internetsite, wou d’Refugiéen zentraliséierten alleguer déi relevant Informatioune fannen an do och déi néideg Demarchë maache kéinten. Dat seet eis de President vun der Associatioun Nicolas Zharov op Nofro hin.

Eng weider grouss Erausfuerderung bleift den zäitnoen Accès zu engem Logement, fir dat se net missten wochelaang an temporäre Strukturen ewéi Sportshalen oder Zelter liewen.

Den Accueil vun de Kanner a Jugendlechen an de Lëtzebuerger Schoule wier gutt a wichteg gewiescht fir datt déi Jonk op aner Gedanke kommen an erëm sozial Kontakter hunn.

Elo misst ee sech Gedanke maachen, wat een dësen iwwert der Summer kéint ubidden, well si jo net kéinten an d’Vakanz fueren, esou de Nicolas Zharov, President vu der Asbl LUkraine.

Les réfugiés ukrainiens… et les autres

Le LFR a salué la mise en place rapide d’un guichet unique pour les réfugiés ukrainiens.

Capacités d’hébergement, traitement des dossiers, statut des différents cas : l’arrivée massive en un laps de temps très court de réfugiés ukrainiens (4 000 selon le dernier décompte et environ 2 000 demandes introduites depuis l’étranger), soulève de nombreuses questions d’ordre pratique et juridique.

Le Collectif Réfugiés (Lëtzebuerger Flüchtlingsrot, ou LFR), qui regroupe des associations veillant au respect des droits des réfugiés, a donc sollicité une entrevue avec l’Office national de l’accueil (ONA) et la direction de l’Immigration pour faire le point sur la situation. Elle a eu lieu le 25 mars.

«Une demande de protection temporaire, ce n’est jamais arrivé en Europe. Des concertations régulières avec les autorités vont donc être nécessaires et il va falloir du temps pour mettre les choses en place, car des questions seront soulevées au fur et à mesure que nous serons confrontés à différentes situations», prévient d’emblée Ambre Schulz, coordinatrice de projets pour l’association Passerell.

Parmi les problématiques déjà posées : quid des personnes fuyant l’Ukraine originaires de pays tiers? La réponse reste encore floue pour l’instant, mais devrait être précisée prochainement. La protection temporaire semble en effet pouvoir être accordée à ces personnes si elles ne peuvent «rentrer dans leur pays d’origine dans des conditions sûres et durables». «Mais quelles sont les conditions précises?», interroge Ambre Schulz, qui souligne que le cas ne s’est toutefois pas encore présenté au Luxembourg.

Autre point sur lequel le LFR a interpellé les autorités : le traitement particulier des dossiers. «Parmi les réfugiés ukrainiens, certains peuvent bénéficier du droit d’asile» et pas seulement d’une protection temporaire, explique Ambre Schulz.

Différence de traitement

Si le collectif salue la réactivité des autorités et la mise en place d’un guichet unique rassemblant tous les acteurs compétents pour l’accès à la procédure des personnes fuyant l’Ukraine, il enjoint aussi aux autorités de lancer un appel à projets pour soutenir les associations qui œuvrent en faveur de ces personnes, et à ne pas oublier les autres demandeurs de protection internationale (DPI), qui peuvent avoir le sentiment d’une différence de traitement.

«Il va falloir être vigilant, car la situation actuelle va forcément avoir un impact sur les autres procédures : les examens des dossiers et les vérifications habituelles vont être retardés, ce qui retardera d’autant l’accès aux documents des migrants, donc leur statut et leur intégration complète au Luxembourg», craint Ambre Schulz.

Le LFR déplore par ailleurs la reprise des assignations à résidence, à laquelle s’opposent depuis longtemps les associations pour lesquelles cette assignation n’est ni plus ni moins qu’une «restriction des libertés pour les personnes dans la procédure Dublin». Cette procédure permet d’établir le pays responsable de l’examen de la demande d’asile et peut donc impliquer un transfert de la personne.

Les demandeurs d’asile en procédure Dublin ont en effet été transférés de la Structure d’hébergement d’urgence (SHUK) vers la Wanteraktioun (WAK) pour laisser la place à l’accueil d’urgence des réfugiés ukrainiens. L’assignation à résidence avait donc été suspendue jusqu’au 1er avril. «Cela crée une différence de traitement entre les réfugiés, puisque ces DPI doivent obligatoirement rentrer le soir, mais en plus il s’avère que ces restrictions ont pu être très facilement et rapidement levées. On peut donc vraiment questionner leur nécessité», estime Ambre Schulz.

De même, les bénéficiaires de la protection temporaire peuvent accéder librement au marché du travail sans avoir besoin de solliciter une «autorisation d’occupation temporaire» (AOT). Une mesure qui «satisfait» le LFR, mais qui, là encore, crée une différence notoire entre réfugiés : les autres demandeurs de protection internationale doivent eux patienter six mois avant de pouvoir solliciter une AOT.

«Nous restons attentifs et vigilants face à l’appréciation qui sera faite concernant les demandes de protection pour les personnes fuyant la guerre en Ukraine et les demandeurs de protection internationale qui fuient la persécution et qui se trouvent déjà au Luxembourg», annonce le LFR.

Davantage d’hébergements

Dans sa réponse à la question parlementaire n° 5730, le gouvernement a annoncé prévoir en 2022 l’ouverture de six structures d’hébergement temporaires pour demandeurs de protection internationale (SHTDPI) avec un total de 466 lits, hors structures d’urgence dans le contexte de la guerre en Ukraine, qui sont au nombre de 19 à l’heure actuelle.

Les femmes migrantes partagent leurs expériences

A l’occasion de la Journée Internationale de la Lutte pour les Droits des Femmes, célébrée le 8 mars, l’ASTI vous invite à participer à un moment d’échange entre femmes. L’objectif de cette réunion ouverte, est de permettre aux différentes femmes vivant au Luxembourg de faire connaissance, mais aussi d’échanger sur les différentes difficultés qui peuvent exister : papiers, exploitation au travail, violence, discrimination raciale, accès aux soins de santé, barrières linguistiques… tous ces sujets et bien d’autres pourront être abordés dans un espace de rencontre sécurisé et bienveillant.

 

La participation est gratuite mais l’inscription est obligatoire !

L’échange aura lieu au siège de l’ASTI (10, rue Auguste Laval L-1922 Luxembourg), le samedi 5 février 2022, de 15h00 à 17h00.

Inscriptions par mail, à l’adresse jessica.lopes@asti.lu ou directement à la réception de l’ASTI pendant les horaires d’ouverture.

„Eine erniedrigende Erfahrung“

 LUXEMBURG Über die Hürden von Unternehmern mit Migrationshintergrund bei der Eröffnung eines Geschäftskontos
tageblatt 31. Dezembeer 2021 , Sandra Schmnit
Migranten, die in Luxemburg ein eigenes Unternehmen gründen und dafür ein Geschäftskonto eröffnen wollen, haben dabei oft Schwierigkeiten. Seit mehr als fünf Jahren begleitet die gemeinnützige Vereinigung „Touchpoints“ diese Menschen bei den administrativen Prozeduren. Die Generaldirektorin des Vereins, Fabienne Colling, erklärt, dass das oft ein langwieriger und sogar erfolgloser Prozess ist.

 

Tageblatt: Im Dezember hat „Touchpoints asbl.“ ein Rundgespräch mit dem Titel „Ein Business-Bank-Konto in Luxemburg eröffnen – Die Hindernisse verstehen“ organisiert, das sich vor allem an Unternehmer im Großherzogtum mit einem Migrationshintergrund richtete. Warum ist es wichtig, über dieses Thema zu sprechen?
Fabienne Colling: Oft begleiten wir bei unserer Arbeit Menschen mit Migrationshintergrund, die sich im Großherzogtum selbstständig machen wollen: beispielsweise als Autohändler, Gastwirte oder Grafiker. Immer wieder taucht dabei das Problem auf, dass sie für ihre berufliche Tätigkeit kein Bankkonto eröffnen können. Dazu muss man wissen, dass Kreditinstitute in Luxemburg nicht dazu verpflichtet sind, für jemanden ein solches Konto einzurichten. Mit dem Rundgespräch wollten wir die Aufmerksamkeit auf diese Thematik lenken. Rund 50 Flüchtlinge und Menschen aus Drittländern haben daran teilgenommen.
Was bedeutet das für einen Unternehmer, wenn er kein professionelles Konto bei einer Bank hat?
Ich weiß zum Beispiel von einem syrischen Restaurant, in dem die Menschen aus diesem Grund nur bar zahlen können. Wenn man allgemein Kunden sagt, dass die Zahlung per Karte oder durch Überweisung nicht möglich ist, sind viele skeptisch und haben kein Vertrauen. Zudem will ein Unternehmer seine privaten Aktivitäten und die des Betriebs trennen – schon allein aus praktischen Gründen. Für Betroffene ist es eine erniedrigende und schmerzhafte Erfahrung, wenn sie an Dingen wie der Eröffnung eines Bankkontos scheitern. „Ich kriege nicht einmal das hin“, sagen sie dann.
Das macht sicherlich etwas mit den Menschen.
Das steht außer Frage. Ein Beispiel: Seit rund drei Jahren sind wir mit einem 28-jährigen Afghanen in Kontakt, Jawid Modasir. Er hatte kurz vor der Pandemie in Ettelbrück ein Restaurant eröffnet, das nach rund einem Jahr jedoch leider wieder schließen musste. In dieser Zeit hat der junge Unternehmer sämtliche Banken in seinem Umkreis abgeklappert. Wir waren sogar gemeinsam bei meinem Banker. Aber es ist Jawid Modasir nicht gelungen, ein Geschäftskonto zu eröffnen. Solche Situationen nehmen den Menschen das Vertrauen in das System und rauben ihnen die Motivation. Sie fragen ja nicht nach Geld, wollen kein Darlehen – es geht wirklich nur darum, Inhaber eines Bankkontos zu werden.
Und warum klappt das nicht?
Bei diesem konkreten Beispiel war das eingereichte Dossier nicht komplett. Oft ist das der Fall. Dabei gibt es allerdings zwei Probleme: Zum einen wird von vornherein nicht klar kommuniziert, welche Papiere überhaupt nötig sind. Es fehlt eine Liste mit den notwendigen Dokumenten. Ebenso gibt es keine Erklärungen, und das, obwohl es sich teils um komplexe Formulare handelt. Bei einer Ablehnung werden dann oft keine Gründe genannt. Die Menschen wissen nicht, warum ihr Antrag nicht genehmigt wurde und bekommen keine Erklärung. Gäbe es die, könnten beispielsweise fehlende Dokumente noch nachgereicht werden.
Das klingt nach viel Papierkram. Was gehört denn überhaupt alles zu einem solchen Antrag dazu? 
Persönliche Dokumente, wie etwa eine Kopie des Identitätsausweises und eine Meldebescheinigung. Dann ein Auszug aus dem Handelsregister sowie die Gewerbeerlaubnis. Es muss aber auch ein Geschäftsplan vorgelegt werden, damit man bei der Bank verstehen kann, was der Unternehmer vorhat und wo das Geld herkommen wird. Meist kommen dann noch für die Bank spezifische Dokumente hinzu. Und auch interessant: ein Schreiben, warum man gerade bei dieser Bank ein Konto eröffnen will. Das alles kann ganz schön aufwendig sein, vor allem wenn man als neuer Bürger das Luxemburger System noch nicht gut kennt und nicht weiß, wie man an diese Dokumente kommt. Deshalb begleitet „Touchpoints“ Menschen bei diesem Prozess. Kompliziert wird es beispielsweise auch, wenn ein Diplom nicht anerkannt wird.
Betrifft das denn ausschließlich Menschen mit Migrationshintergrund? 
Nein. Auch Unternehmer aus Luxemburg würden davon profitieren, wenn von vornherein klar kommuniziert würde, welche Dokumente eingereicht werden müssen. Wenn man diese Prozeduren verändern könnte, würde es das für alle leichter machen. Die Banken müssen sich da mehr Mühe geben und sich fragen: „Wie können wir es besser machen?“ Und klar sagen, was erwartet wird.
Und doch sind gerade Migranten von dem Problem betroffen. Man könnte den Banken fast einen bösen Willen unterstellen.
Es ist so: Mit der Eröffnung eines Kontos sind für eine Bank immer auch Kosten verbunden. Das Kreditinstitut muss sich fragen, wie interessant es aus wirtschaftlicher Sicht ist, einen Kunden aufzunehmen. Und ob das eventuell ein Risiko darstellt. Unsere Erfahrung zeigt: Wenn eine Person mit Migrationshintergrund eine solche Anfrage stellt, muss sie mehr Aufwand betreiben, damit es am Ende auch klappt. Bei einem Flüchtling beispielsweise werden mehr Fragen gestellt. Dieser Mensch wird es schwerer haben, sich selbstständig zu machen, als ein Luxemburger. Das ist aber kein schlechter Wille der Banken, sondern das Ergebnis der Gesetzgebung.
„Das Ergebnis der Gesetzgebung“ – wie ist das gemeint?
Im Kampf gegen Geldwäsche und Terrorismus muss jede Bank hohe internationale Standards erfüllen. Tut ein Kreditinstitut das nicht, stehen darauf Strafen. Sehr hohe Strafen. Aus Eigeninteresse müssen die Kreditinstitute also streng sein. Vor allem bei Menschen aus als Risikogebiete eingestuften Ländern wie Afghanistan, Irak oder Syrien sind sie deshalb wachsam. Das ist eine indirekte Diskriminierung, die allerdings nicht beabsichtigt ist. Bei Betroffenen führt das jedoch zu Kollateralschäden. Die Antragsteller bekommen ja gar nicht die Möglichkeit, sich zu erklären oder zu verteidigen und bekommen auch keine zweite Chance.
Wir wissen nun, warum Banken so handeln. Aber können die Kreditinstitute etwas tun, um die Situation zu ändern? 
Es liegt in ihrer Hand, wie sie dazu kommunizieren. Bei fehlenden Dokumenten können sie den Menschen beispielsweise mitteilen, dass es daran gescheitert ist. An unserem Rundgespräch haben unter anderem Schlüsselakteure aus dem Bankensektor und auch zwei Banken teilgenommen. Sie haben erklärt, dass sie sich an die Regeln halten müssen. In der Diskussion mit den Betroffenen haben sie aber auch gesehen, dass das Auswirkungen hat. Es war wichtig, dass die Zuhörer ihre persönlichen Geschichten erzählen konnten, um zu zeigen, dass hinter diesen Anfragen Menschen stehen. Für sie war es auch sehr wichtig zu sehen, dass es nicht an ihnen liegt.
Ein erster Schritt scheint damit gemacht zu sein, geht man bei „Touchpoints“ demnach positiv gestimmt in das neue Jahr?
Es gibt jetzt einen Dialog. Wir sind beispielsweise nun mit einer Bank in Kontakt, um zu schauen, wie Informationen besser kommuniziert werden können. Es wird an einer Liste mit den bei einem Antrag beizulegenden Dokumenten gearbeitet. Gemeinsam schauen wir, wie man besser informieren kann. Außerdem wurde unser Budget für das kommende Jahr bewilligt. Wir wollen die Unternehmer spezifisch über dieses Thema und das Bankensystem informieren. Wer selbst betroffen ist, kann sich übrigens an „Touchpoints“ wenden und einen Termin machen.
Durch die alltägliche Zusammenarbeit mit Selbstständigen mit Migrationshintergrund weiß die Generaldirektorin von „Touchpoints asbl.“, Fabienne Colling, dass viele von ihnen kein professionelles Bankkonto eröffnen können
Auch Jawid Modasir (2.v.r.) saß beim Rundgespräch „Opening a Business Bank Account in Luxembourg – Understanding the Obstacles“ in der Hauptstadt im Publikum, denn er hat selbst ohne Erfolg versucht, ein Geschäftskonto zu eröffnen