«On veut une solution»

Les Irakiens continueront leur sit-in sur la place Clairefontaine«jusqu’à ce qu’on nous aide».
On l’a vu de loin, mais il n’est pas venu nous voir », ont lancé, vendredi, quelque 25 Irakiens. Il, c’est Jean Asselborn, le ministre des Affaires étrangères et européennes, venu à la Chambre pour informer les députés des suites diplomatiques de l’affaire Skripal ( lire ci-contre ).
Depuis lundi dernier, ces Irakiens, dont la plupart ont été déboutés du droit d’asile et d’autres ont obtenu la protection internationale, campent jour et nuit sur la place Clairefontaine à Luxembourg. « On veut qu’on trouve une solution pour nous , dit l’un d’entre eux. On est au Luxembourg depuis 2015. On fait tout pour s’intégrer, on apprend la langue, on essaye de trouver du travail… Mais rien ne se passe et on n’a toujours pas de protection. On ne veut pas retourner en Irak, où la guerre est toujours en cours. On veut continuer notre vie ici, être des personnes actives… On veut que le ministère nous aide. » Un autre affirme : « On continuera notre sit-in jusqu’à ce qu’on nous aide. »
De son côté, le ministre des Affaires étrangères et européennes, Jean Asselborn souligne : « Nous sommes dans un État de droit et on a une procédure administrative. Ce n’est pas une affaire politique et il y a une procédure à suivre. Et je le répète, nous n’avons renvoyé aucun Irakien dans son pays en dépit du fait qu’il n’y a plus de guerre en Irak. »
G. Ch. et G. M. Le Quotidien 31 mars 2018

Les Irakiens continueront leur sit-in sur la place Clairefontaine«jusqu’à ce qu’on nous aide».
On l’a vu de loin, mais il n’est pas venu nous voir », ont lancé, vendredi, quelque 25 Irakiens. Il, c’est Jean Asselborn, le ministre des Affaires étrangères et européennes, venu à la Chambre pour informer les députés des suites diplomatiques de l’affaire Skripal ( lire ci-contre ).
Depuis lundi dernier, ces Irakiens, dont la plupart ont été déboutés du droit d’asile et d’autres ont obtenu la protection internationale, campent jour et nuit sur la place Clairefontaine à Luxembourg. « On veut qu’on trouve une solution pour nous , dit l’un d’entre eux. On est au Luxembourg depuis 2015. On fait tout pour s’intégrer, on apprend la langue, on essaye de trouver du travail… Mais rien ne se passe et on n’a toujours pas de protection. On ne veut pas retourner en Irak, où la guerre est toujours en cours. On veut continuer notre vie ici, être des personnes actives… On veut que le ministère nous aide. » Un autre affirme : « On continuera notre sit-in jusqu’à ce qu’on nous aide. »
De son côté, le ministre des Affaires étrangères et européennes, Jean Asselborn souligne : « Nous sommes dans un État de droit et on a une procédure administrative. Ce n’est pas une affaire politique et il y a une procédure à suivre. Et je le répète, nous n’avons renvoyé aucun Irakien dans son pays en dépit du fait qu’il n’y a plus de guerre en Irak. »
G. Ch. et G. M. Le Quotidien 31 mars 2018


Conférence de presse du LFR le 22 mars 2018
Zurück auf dem Bürgermeisterstuhl
Arrivée avec son frère fin 2015 au Grand-Duché, Fatima* (18 ans) attend la venue des autres membres
A 25 ans, comme beaucoup de jeunes actifs fraîchementdiplômés, j’ai voulu tenter machance ailleurs qu’en France et m’exporter. J’ai décidé devenir au Luxembourg et d’ylancer ma carrière de juristefutur avocat. Ce fut la meilleure décision prise depuis le début de mes études de droit à Strasbourg.
Quelques éléments en vue du débat d’orientation du 15 mars 2018 à la Chambre des Députés sur le prochain plan national d’intégration.